Il s'agit de substances psychoactives, c'est-à-dire qui agissent sur le fonctionnement du cerveau, provoquant des modifications psychiques et comportementales. Des personnes mal intentionnées les utilisent pour diminuer le niveau de vigilance de la victime afin de la rendre plus vulnérable à l’agression.
Médicaments :
Ce sont les substances les plus régulièrement utilisées en France.
• Anti-histaminiques et sédatifs (par exemple Cétirizine/Zyrtecset, Dornomil/Doxylamine)
• Benzodiazépines et apparentés, utlisés comme anxiolytiques et/ou somnifères (par exemple Lexomil/Bromazepam, Valium/Diazepam, Imovane/Zopiclone, Zolpidem/Stilnox…)
• Antidépresseurs et Opioïdes
Autres substances :
MDMA, cocaïne, alcool, GHB (acide gamma-hydroxy-butyrique, un anesthésiant classé dans la catégorie des stupéfiants en France).
En 2019, les cas de soumissions chimiques par MDMA sont les plus nombreux parmi les substances non médicamentaeuses selon une enquête du Centre d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance et d’addictovigilance d’IDF.